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Qu'avez vous maté comme film dernièrement ?

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il y a 16 ans 1 semaine #28450 par alptraum
cloverfield

ou "blair witch" avec une grosse bête...

fortement rétissant à matter ce genre de films vu que moi et la modernité audiovisuelle, on est pas des masses copains. :laugh:

c'est sympa à matter mais sans +. la bête est vraiment bien foutu graphiquement.

le cadrage type amateur est loin de l'être si on matte bien le film, d'ailleur on peux voir que le "cadreur" adore filmer les marques (séphora et nokia en tête de liste) comme la scène où l'un des protagonistes veut à tout prix sa batterie pour son nokia avec gros plan sur la marque des emballage des dites-batteries et quelques mins plus tard, dans le métro, le "cadreur" s'attarde bien sur la 4x3 de nokia avec un joli zoom sur la marque... :lol:

afin bref, ça va pas me laisser un souvenir impérissable ce film... :blush:

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il y a 16 ans 1 semaine #28465 par Phoebe
Je me suis fait une petite cure ce week end et j’en ai profité pour mater Apocalypto en VO non sous-titrée. Fallait osé, un film américain en langue Maya, tellement rare…qui plus est réalisé par Mel Gibson.
Ceci étant dit, on aurait pu prendre ce film dit d’aventure comme un film historico-documentaire, sur la vie des Mayas. Il y a certainement des anachronismes que je n’ai pas su relever dans le film (je ne suis pas une spécialiste des peuples pré-colombiens), la fin étant très « étrange » aux vues des hypothèses avancées relatant l’histoire des Mayas.
Et on se rend bien compte qu’on est bien peu de chose face au monde de la jungle, de sa faune et de sa flore.
Apocalypto, un film écolo ?
Bref, ça se laisse tout de même regarder.
1408 de Mikaël Hafstrom
Deuxième film où je vois John Cusak sous une pluie battante, s’arrêtant dans un hôtel modeste (confère le piètre Identity, genre de film où à la fin on se dit : « et alors ?! »), ce qui connote un manque d’originalité côté scénario. Ou alors Cusak a pris un forfait « motel hanté, tout confort »…
Une chambre hantée où les murs saignent, vague petit rappel d’Amytiville, la maison du diable de Stuart Rosenberg (1980). Ici, rien de nouveau, l’écrivain un peu porté sur la bouteille (ce qui pourrait éventuellement modifier son jugement), septique, trop même à mon goût. L’histoire est ainsi faite mais ne renouvelle absolument pas le genre.
Un Samuel L. Jackson mystérieux et élégant en gérant d’hôtel, un rôle secondaire qui aurait mérité d’être développé au sein du récit.
Quant à la personnalité du personnage principal, je dois dire qu’elle est mise à rude épreuve mais il y a quelque chose de plaisant dans la psychologie du perso, c’est qu’il ne bascule jamais dans la folie et son entêtement n’a d’égal que la foudroyante rage que déverse la chambre, entité néfaste et dévastatrice, à l’encontre de l’écrivain. En cela, je dirais que le film n’est pas complètement dégueux…
Le film est basé sur une superstition sur le chiffre 13 et sur le mode de construction des grands buildings new-yorkais où il n’y a ni 13ème étage, ni chambre n° 13.
No country for old men des frères Coen
Du Coen en puissance, rien d’étonnant.
Les grands espaces arides du Texas, le Mexique, de l’argent, un tueur, un shérif, une chasse à l’homme et une foule de cadavres.
Les frères Coen dépeignent un tueur sans pitié, taciturne et toujours égal à lui-même dans n’importe quelle situation.
Certaines scènes bien gores tout de même…

Mysterious Skin de Gregg Araki
Je termine par ce film que j’ai vu il y a quelques temps déjà.
Film très surprenant par sa forme. Araki ne m’avait pas habitué au genre dramatique.
Très loin de The Doom Generation et de Nowhere

La main sur le Katana
Même si la peur m'assaille
Je partirai comme un samouraï
Shurik'n

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il y a 16 ans 1 semaine #28471 par dajhne
Phoebe: Whoua! Ca c'est du report! Et argumenté en +!!! :woohoo:
(en +, on sent bien la culture cinoche avec moults références à d'autres films: perso, j'avais bien aimé "Identity", sauf la fin...)


_alptraum_: je suis d'accord avec toi; "Cloverfield" est faussement facile, et relève d'une grande maitrise. Maintenant pour les pubs,c'est vrai, je les avais oubliés..... :blush:

Imperial Vomit: je serais + indulgent, mais comme toi, "Rec" m'a laissé un arrière goût de baclé....
(quant à la "meuf/chose", la moitié de la salle était pliée en 2 de rire.....)

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il y a 16 ans 1 semaine #28472 par dajhne
Alors donc, ce week end, j'ai déterré du "oldies but goodies"!

Tout d'abord:

-"Silent Running":



Dans un avenir proche, les forêts et la végétation ont disparu de Terre. Des vaisseaux spatiaux ont pour mission de faire développer la faune et la flore, afin de pouvoir la réimplanter plus tard sur notre planète. A bord d'une de ces plateformes, un biologiste scientifique reçoit pourtant l'ordre d'anéantir cette expérience en faisant exploser chaque sphère verdoyante. Ne pouvant se résoudre à le faire car grand défenseur de la Nature, il choisit de désobéir, quitte à se débarraser du reste de l'équipage.

Peu de films peuvent se targuer être des pilliers de la SF."Silent Running" fait partie de cette prestigieuse catégorie, bien que ce film de 1975 ait très mal vieilli sur bien des aspects. Qu'importe les drones ridicules, les FXs à base de maquettes grossières, et les chansons genre Joan Baez qui abreuvent le métrage, car le fond de l'histoire reste toujours d'actualité et des + pertinents.

Note: 4/6

Ensuite, le célèbre:

-"Soleil Vert"



En 2022, par faute de surpopulation mondiale, les hommes ont epuisé les ressources naturelles de la Terre. Seule une alimentation de synthèse permet d'alimenter les milliards d'individus, qui vivent entassés les uns sur les autres par faute de place. L'ordre est "maintenu" par une Police des plus répressives et permanente. Pourtant, un policier va enquéter sur la mort d'un grand dirigeant de cette alimentation reconstituée, et découvrir au péril de sa vie, l'effroyable réalité de cette société inhumaine.


Alors celui-ci aussi est un GRAND classique!!!
Je l'avais vu il y a bien longtemps, mais se le revisionner fait mal à la tête: beaucoup de choses dans ce film datant de 74, sont tout simplement en train de se produire de nos jours.
Toute l'idée de cette hisoire repose sur une théorie établie durant les années 30: l'Humanité se développe considérablement plus vite que ses ressources!
Entre une population n'arrivant plus à se loger, à se nourrir convenablement (la viande devient hors de prix), à accéder à de l'eau tant elle se fait rare, on ajoute à ça une police musclée qui tappe à l'aveugle.... il ne manque plus qu'un nabot au pouvoir, et ce serait total!!!
De plus, le film qui n'épargne rien , nous montre une société macho, qui fournie avec chaque appartement pour riches, le standing qui va bien (les femmes sont appelées "mobilier"!).
Terriblement effrayant, car de plus en plus envisageable!!!

note: 4,5/6

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il y a 16 ans 1 semaine #28481 par Phoebe
dajhne écrit:

Phoebe: Whoua! Ca c'est du report! Et argumenté en +!!! :woohoo:
(en +, on sent bien la culture cinoche avec moults références à d'autres films: perso, j'avais bien aimé "Identity", sauf la fin...)
[...]


J'aime regarder des films et j'aime en parler... :P

Quant à Identity; et bien euh... disons que... il m'a laissé sur ma fin. Une fin banale qui aurait mérité un peu plus de ... surprise/rebondissement ! :blink:

dajhne écrit:

Alors donc, ce week end, j'ai déterré du "oldies but goodies"!

[...]

Ensuite, le célèbre:

-"Soleil Vert"



En 2022, par faute de surpopulation mondiale, les hommes ont epuisé les ressources naturelles de la Terre. Seule une alimentation de synthèse permet d'alimenter les milliards d'individus, qui vivent entassés les uns sur les autres par faute de place. L'ordre est "maintenu" par une Police des plus répressives et permanente. Pourtant, un policier va enquéter sur la mort d'un grand dirigeant de cette alimentation reconstituée, et découvrir au péril de sa vie, l'effroyable réalité de cette société inhumaine.


Alors celui-ci aussi est un GRAND classique!!!
Je l'avais vu il y a bien longtemps, mais se le revisionner fait mal à la tête: beaucoup de choses dans ce film datant de 74, sont tout simplement en train de se produire de nos jours.
Toute l'idée de cette hisoire repose sur une théorie établie durant les années 30: l'Humanité se développe considérablement plus vite que ses ressources!
Entre une population n'arrivant plus à se loger, à se nourrir convenablement (la viande devient hors de prix), à accéder à de l'eau tant elle se fait rare, on ajoute à ça une police musclée qui tappe à l'aveugle.... il ne manque plus qu'un nabot au pouvoir, et ce serait total!!!
De plus, le film qui n'épargne rien , nous montre une société macho, qui fournie avec chaque appartement pour riches, le standing qui va bien (les femmes sont appelées "mobilier"!).
Terriblement effrayant, car de plus en plus envisageable!!!

note: 4,5/6


Sacré film que voilà que j'ai découvert il y a une dizaine d'années !
Effrayant par son scénario et quant bien même le film date, il n'en reste pas moins futuriste et fait état d'un certain réalisme actuel comme tu le soulignes si bien ! ;)

La main sur le Katana
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il y a 16 ans 6 jours #28603 par dajhne
"HALLOWEEN" de Rob Zombie



Le remake du film culte de John Carpenter, vu par l'auteur de "The Devil's Rejects"

Que dire, que dire... Hollywood nous abreuvant de remakes depuis quelques années, on peut s'attendre de la part de ce réalisateur, à un résultat supérieur et atypique à ce qui se fait habituellement.
Premier constat, c'est bien du Zombie: dialogue cru, de la violence percutante, des cheveux gras, de la compassion pour les assassins, et pleins de têtes connues sont au programme.

Ensuite, on est bien obligé d'admettre que devant cette même recette déjà employée sur ces 2 précédents films, Rob Zombie tourne vraiment en rond, jusqu'à friser les pires clichés:
tous les acteurs ont les cheveux longs (y compris Doc Loomis) parce que Zombie doit trouver que ça fait plus "authentique", ils ont tous l'air de ne pas s'être lavés depuis 3 semaines, tout est cradingue et en désordre, etc...
Le nombre d'acteurs connus et sous employés est sidérant, et sont juste là apparemment pour nous montrer que le réalisateur connait ses classiques (le syndrôme Tarantino), avec dans le désordre: Udo Kier (à l'écran 1 minute!); Danny Trejo; Richard lynch (le mec qui a tourné dans toutes les séries B de la Terre); Brad Dourif; Sid Haig; William Forsythe; Bill Moseley....
La musique de Tyler Bates se cantonne à reprendre LES thèmes de Carpenter, et c'est à peine s'ils sont retravaillés.
Le film est scindé en 2 parties: la 1ère nous montre comment le jeune Michael Myers bascule dans la folie meurtrière qu'on lui connait, la seconde met en images les meurtres sauvages à Haddonfield, et reprend quasiment tous les rebondissements de l'oeuvre originale.
A noter, qu'une fin alternative est présente sur le DVD, et je l'ai personnellement préférée à la fin officielle....
Mais ce n'est qu'un avis.

note: 3/6

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il y a 16 ans 6 jours #28604 par ImperialVomit
dajhne: Est ce qu'il est meilleur que les deux navets (a mon opinion) précédents?

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il y a 16 ans 3 jours - il y a 16 ans 2 jours #28650 par Phoebe
Après avoir lu quelques uns de vos commentaires, je me suis dit pourquoi pas mater Rec
A première vue, il semblerait que les films à caractère zombiaque reviennent en force dans le genre Gore.
Hier, Rec, aujourd’hui, I’m a legend de Francis Lawrence avec Will Smith, déjà sauveur du monde dans le très fumeux et non moins patriotique Independence Day de Roland Emmerich.

Toujours la même trame, un virus, une propagation à l’échelle mondiale, les gens infectés se mettent à mordre tout et n’imp’, c’est la fin du monde, le virus n’est toujours pas éradiqué (cf syndrome d’immuno-déficience acquise), il faut un remède, mais on l’a toujours pas trouvé, mais kesse ki foutent les gens du gouvernement et de l’armée, il nous laisse comme des chiens et attendent que ça passe ! Question d’sécurité !
Bon résumé de la situation mondiale actuelle, n’est-ce pas ?! L’insécurité a bon dos et fait bonne fortune pour tout politique qui se respecte. Protéger, oui, mais protéger qui ? krkrkr… :P

Qu’il est loin le temps où quand le zombie sortait de terre, t’avais le temps de crier dix fois, de faire trois pas, de t’arrêter, de te retourner pour voir où en sont les monstres. Puis de crier une bonne douzaine de fois avant de détaler dans les bois… enfin, là où faut pas aller quoi, surtout quand t’es poursuivi par des zombies ! Essoufflée et échevelée mais toujours maquillée, tu tombais sur une petite cabane en bois où tu pouvais te réfugier tout en attendant que le jour se lève…
Aujourd’hui… Que nenni !
Aujourd’hui, les zombies, ils déchirent leur race ! :woohoo:
Pour échapper aux machins, tu dois soit te taper un 100 mètres sans respirer, sans te retourner et en hurlant à la mort (ou pas, parce que mine de rien, hurler, ça crève) ou alors avoir un sacré bolide blindé anti-choc, et encore, t’es même plus certain de pouvoir t‘en sortir ! :blink:

Question protection, tu peux toujours courir là aussi, puisque même en t’enfermant dans un bunker, t’as très peu d’chance de t’en sortir, tellement ils sont coriaces et violents ! Ah ça c’est sûr, ça fait grave flipper !!!
Confère 28 jours plus tard de Danny Boyle (ainsi que 28 semaines plus tard de Juan Carlos Fresnadillo).
La nouveauté, c’est qu’un zombie maintenant, ça a des sentiments ! :kiss:
Et vi, le docteur Will a volé la keupine d’un zombie qui crie très très fort, très mécontent apparemment (d'après ses cris qui connotent une effroyable colère) et bien décidé à se venger…
Et c’est en cela que le film de zombie devient un peu plus flippant et en plus, ils sont vicelards et ils réfléchissent ces cons !

Le film de zombie, en règle générale, traite d’un sujet bien connu qui est l’aliénation des gens.
Dans The Invasion of the Body Snatchers de Don Siegel (1954), il est question d’hystérie collective. Le zombie est vu comme une personne exécutant tous les ordres, sans broncher, bon citoyen de la société qui obéit au doit et à l’œil, qui agit d’une façon patriotique pour sa nation, prêt à défendre son pays, connotant un esprit conservateur, je m’arrête là pour l’énumération.
Une façon symbolique d’évoquer la société de consommation de masse qui nous entoure.
Or, dans les films récents qui traitent du sujet, on assiste comme à un revirement de situation. Le zombie réfléchit et pense plus que jamais et, est bien déterminé à marquer son territoire et à sauter sur tout ce qui bouge ! Et en plus, il est devenu athlétique ! :blush:
Évocation sous-jacente du sujet sur la répression et privation des libertés individuelles, révolte urbaine, guerre civile en tout genre, semblerait-il… On est donc en droit de se demander qui sont « les méchants » au final ?!

Pour en revenir à Rec
C’est pas le pire mais c’est pas le meilleur !
Et en mon fort intérieur, je me dis que si ce film a été primé, c’est que les autres en compèt’ devaient être de sacrées daubes !!!

ImperialVomit écrit:

[…]
- Charlotte Moreau

Barème AlloCiné :
Quatre-vingt minutes de pure trouille, dont on ressort à la fois perturbé et euphorique. Heureux d'avoir assisté à un spectacle intelligent, qui ne prend pas le spectateur pour un sadique.


Personnelement je pense pas du tout avoir vu le meme film.


A cela, je répondrais, c’est normal ! Nous n’avons pas tous la même sensibilité ni le même ressenti face aux images que nous voyons. Ni la même façon de les interpréter. En cela, je peux tout à fait comprendre l’avis très subjectif de Madame Charlotte ! Or, sa critique induit un peu en erreur le spectateur cinéphile et amateur du genre…
Conclusion : ne jamais se fier à une critique, elle n’est valable que pour la personne qui l’écrit, surtout si elle n’est pas objective.
Par contre, la Charlotte, elle a un peu craké son zlip quand elle dit que le film ne prend pas le spectateur pour un sadique ! Franchement, je ne suis pas d’accord. Parce que t’as quand même qu’une seule envie, c’est que l’Pablo, il lâche pas sa caméra, comme ça, t’en perds pas une miette et que les séquences où le noir total règne peuvent très vite devenir angoissantes. T’entends mais tu voies pas, « la partie pour le tout » en langage cinématographique, ce qui a le don de faire appel à ton imagination et l’imagination humaine est beaucoup plus flippante encore que de simples images ! :unsure:

Je l'ais trouvé creux, ennuyant et de la a dire que c'est de l'"horreur"... Ouais c'est une horreur de payer 8€ pour voir ca.

Ennuyeux, oui, je l’ai trouvé car au bout de 20 minutes les premiers soupirs se sont fait ressentir de ma part. L’actrice, tête à claques, j’avais surtout envie de lui tirer les couettes sur la première demi heure de film et la queue de cheval sur la deuxième partie. :evil:
Même pas une bonne « screameuse » (enfin la personne qui l’a doublé en l’occurrence !). Parfois, je me demandais pourquoi elle criait, tellement elle criait pour rien !
Plutôt hystériquement excitée de filmer tout et n’importe quoi du moment que ça fasse sensation.
Apeurée la pauvresse, mais jamais elle perd le nord, hein, faut filmer ça à tout prix (c’est d’ailleurs le sous-titre du film), mais elle crie tout le temps, c’est assez agaçant sur plus d’heure de film… allez hop, vient là que j’te tire les couettes ! :evil:

De plus avec le style de filmer caméra au point ca devient la mode depuis Cloverfield, encore dans celui-ci il y avait une bonne dinamyque. Mais Rec est plus que décevant... De plus dans REC les plans de caméra sont fait au poing mais le film est plein de ZOOM/DeZoom a en donner le mal de mer...


Voilà donc un film entièrement filmé en caméra subjective, la caméra devient un des personnages (le principal d’ailleurs), donc adopte un certain point de vue.
C’est pas une première ! Rec a des allures de Blair Witch Project, camera subjective, gros plans décadrés, camera infrarouge, le cadrage qui file le mal de mer, etc…
Ce procédé n’est pas nouveau puisqu’en 1947, Lady in the Lake de Robert Montgomery fût un film policier tourné en caméra subjective, du début à la fin.
On n’aperçoit le personnage que quelques minutes à l’écran et toujours à travers un miroir, normal, puisque que nous voyons sa propre vision donc nous ne pouvons voir que son reflet.

Ce qui me déplaît dans ce film, c’est cette manie de vouloir filmer absolument, parce que tu peux pas « montrer » et « agir » en même temps, preuve étant que les personnages se contentent de monter et de descendre les escaliers, en laissant derrière eux les cadavres qui deviendront zombie. T’es enfermé dans un putain d’immeuble, avec des putain d’monstres qui veulent te grailler et toi tu penses qu’à filmer, pour que les gens sachent quoi !?
Allez hop, tirage de couettes ! :evil: lol
C’est naze et inefficace !
D’ailleurs les personnages le sont tous !
J’apporte là une critique sur le scénario qui n’est pas à la hauteur des images que l’on nous montre.
Quant aux dialogues, cela aurait pu être un film muet que ça m’aurait pas dérangé !
Et tout comme toi, Dajhne, je ne suis pas vraiment rentrée dedans et les 18 dernières minutes n’auront été qu’une admirable séance de tirage de couettes en puissance !

Pour résumer, beaucoup de cris pour rien ! B)

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Shurik'n
Dernière édition: il y a 16 ans 2 jours par Phoebe.

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il y a 16 ans 3 jours #28652 par ImperialVomit


MORTEL!

Adapté du roman réputé inadaptable de William Burroughs, Le Festin nu présente, comme son livre source, de nombreuses similitudes avec la vie de l'écrivain américain. Ainsi Bill Lee, le personnage de Peter Weller , est-il nommé du pseudonyme prit par Burroughs pour publier son premier roman, Junky, en 1953. Drogué comme l'écrivain, il tue accidentellement sa femme en jouant à Guillaume Tell comme Burroughs le fit. Parmi les autres similitudes, à noter celle frappante entre l'Interzone où se perd Bill Lee et l'International Zone de Tanger où Burroughs a écrit Le Festin nu en 1959. Enfin, Kiki, incarné par Joseph Scoren, est nommé selon un jeune homme avec lequel le romancier a eu une liaison pendant son séjour à Tanger

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il y a 16 ans 3 jours #28655 par pointàlaligne
Récemment j'ai vu funny games us, à chier !
Mais aussi Teeth qui lui est extraordinaire, quoique par moment je me marrais mais j'étais bien recrocvillé sur moi même.

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il y a 16 ans 3 jours #28658 par ImperialVomit
pointàlaligne écrit:

Mais aussi Teeth qui lui est extraordinaire, quoique par moment je me marrais mais j'étais bien recrocvillé sur moi même.


A ce que j'ai entendu dire il est bien énorme :woohoo:

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il y a 16 ans 2 jours - il y a 16 ans 2 jours #28660 par dajhne
ImperialVomit écrit:

dajhne: Est ce qu'il est meilleur que les deux navets (a mon opinion) précédents?


Bein, c'est sûr qu'ils sont bien datés (périmés ?) mais leur contexte, lui, est incroyablement actuel, et découle sur de VRAIES réflexions!!!
C'est le genre de films que l'on peut disséquer et débattre,
à l'inverse de "Halloween" qui, même s'il reste sympathique, est totalement creux!

Phoebe écrit:

Dans The Invasion of the Body Snatchers de Don Siegel (1954), il est question d hystérie collective. Le zombie est vu comme une personne exécutant tous les ordres, sans broncher, bon citoyen de la société qui obéit au doit et à l œil, qui agit d’une façon patriotique pour sa nation, prêt à défendre son pays, connotant un esprit conservateur, je m’arrête là pour l énumération.
Une façon symbolique d évoquer la société de consommation de masse qui nous entoure.



"The Invasion Of The Body Snatchers" (il faut lire le roman de Jack Finney, "graines d'épouvante" en français) est surtout un pamphlet anti communiste, là où l'Amérique sombrait en plein Maccartysme: auncune liberté individuelle; "ils" s'infiltrent parmi nous et prennent notre contrôle; une seule et unique identité communautaire....
Au même titre que "The Thing" d'Howard Hawks, où la menace vient du froid, et peut prendre l'apparence de ses proches...
Phoebe, je "kiff-comme disent les djeuns" tes reports!
Dernière édition: il y a 16 ans 2 jours par dajhne.

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